Capitalisme, femmes et violences

Atelier 1. La visibilité du corps productif et l'invisibilité du corps reproductif

Comment se construit la productivité dans notre société ?
À quoi répond-t-elle ?
Où se situent nos corps, en tant que corps productifs et/ou reproductifs dans ce contexte ?
Est-il possible de rendre visible l'invisible sans tomber dans les schémas qui ont permis, pour ne pas dire instauré, cette division ?

Cet atelier aurait également pu s'appeler : Quand le sensible se retrouve soumis au corps mécanique.
Car finalement, c'est de ça dont il s'agit.

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Atelier 2. Quand être en relation au Vivant, au sensible, et parler, se rebeller en étant femme devient sorcellerie  

Une femme, au XVI et XVII, était considérée comme sorcière lorsqu'elle contrôlait la procréation, avait une relation privilégiée avec la nature, avait des relations sexuelles hors mariage ou sans objectif de procréation, contestait, discutait, insultait (Federici, 2004 : 258)... 

Comment s'inscrivent ces postulats dans notre société actuelle ?
Comment seraient définies les sorcières contemporaines ?
Comment pourrait se définir la violence dans le contexte actuel ?

Voici quelques questions autour desquelles nous réfléchirons ce mois-ci accompagné•es de la pensée de Silvia Federici.

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À Concarneau

Les samedis 23 et 30 mars de 16h à 18h sur La Ceci, port de Concarneau. 

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Le prix du cycle comprend un pack de ressources supplémentaires pour pouvoir aller plus loin ainsi qu'une fiche pédagogique reprenant la pensée de l'auteure. 

Il existe des tarifs spéciaux pour les étudiant.e.s et les personnes au chômage.